Nouvelle traduction de Communiqué n°10

Traduction 2020 en espagnol ( MEXIQUE ) par Francia Castañeda

Autres traductions :

Pièce traduite en allemand par Sylvia Berutti-Ronelt, et publiée dans la revue Scene n°14.
Mise en espace par Mathias Hannus, au Staatstheater de Karlsruhe, le 14 février 2012.


Pièce traduite en tchèque par Markéta Machacikova.


Pièce traduite en anglais pour le festival « Voices from… Des voix », partenariat du service culturel du Consulat Général de France à San Francisco et la Playwrights Foundation.
Lecture dirigée par Rob Melrose, à Z space, San Francisco en mai 2012.

Création en anglais dans une traduction et une mise en scène de Rob Melrose, The Cutting Ball Theater, San Francisco (USA), du 25 avril au 25 mai 2014.

Publication en 2015.


Pièce traduite en espagnol par Diego Milos.

Mise en voix sous la direction de Jimmy Dacarret lors des Rencontres dramatiques européennes « Encuentro de Dramaturgia Europea Contemporánea » organisées par l’Institut Français avec les instituts d’Allemagne, d’Italie, de Suisse, de Grande-Bretagne, à Santiago du Chili, 2 octobre 2015.

Dans une mégalopole à peine futuriste, cernée par des friches où se réfugient exclus et révoltés, des violences éclatent. Un jeune homme a été tué sur un parking par un vigile. Celui-ci est en fuite et le frère de la victime ne veut pas que le crime soit impuni.

Construisant la pièce comme un puzzle, Samuel Gallet livre un texte à la limite des genres : ni réaliste, ni policier, ni surnaturel ou tout cela à la fois. Ses personnages sont complexes. Ils cherchent à maîtriser les destins écrits, à agir sur leur vie sans céder au poids du passé ou aux contraintes de la société imposées par la force.

Damien, le vigile, est tout aussi perdu qu’Anne, la rebelle, ou que la bande des enfants guerriers dont les facéties dangereuses ponctuent le cours des événements (émeutes, révolte, résistance).

Comme le dit la figure énigmatique du vieil homme : « Ce ne sont pas les morts qu’il faut venger mais les vivants qui demeurent et que les morts regrettent. »

Samuel Gallet poursuit avec ce texte son exploration des êtres marginaux.

Ouvrage publié avec le soutien du Centre National du Livre.

  • Pièce lauréate des Journées des Auteurs de Lyon 2010
  • Pièce « coup de coeur » 2011 du comité de lecture du Panta Théâtre.
  • Pièce sélectionnée par la Moisson des auteurs, mai 2011, Entr’Actes-Sacd.
  • Sélectionnée par A mots découverts qui propose une lecture aux Mardis midi du Théâtre de Rond-Point, Paris, dirigée par Nathalie Demnard, le 27 juin 2011.
  • Pièce sélectionnée pour le Prix Collidram 2012 de littérature dramatique des collégiens remis en mai et pour le Prix Sony Labou Tansi des lycéens 2012 attribué à la même période.